L'activité physique peut aider à mieux dormir
Insomnie : que faire ? L’activité physique ne doit pas être négligée dans le traitement des troubles du sommeil, à condition de respecter quelques règles. Les effets demandent parfois un peu de patience.
En participant à une saine hygiène de vie, l’activité physique participe également à un bon sommeil. Elle procure une détente physique comme mentale, très propice à un bon endormissement et aux nuits calmes.
La pratique d'une activité physique régulière est bénéfique
Il vaut mieux avoir une pratique régulière à petites doses qu’une pratique intense mais brutale. L’intérêt est de pouvoir poursuivre sur la longueur, et la pratique ponctuelle intensive peut créer un trop plein d’excitation nocif. Rien à craindre si vous n’êtes pas un grand sportif, il suffit de bouger ! Vous n’êtes pas obligé(e) de vous inscrire en club de sport. Trouvez un sport ou une activité qui vous fait bouger et qui vous plaît. Variez aussi les plaisirs : aller chercher le pain à vélo, jouer dans le jardin avec les enfants… L’important est de se détendre, pour pouvoir enfin ressentir la délicieuse « bonne fatigue ».
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Les résultats de l'activité physique sont visibles après plusieurs mois
L’Université américaine de Northwestern a montré que si la pratique physique n’a pas d’effet immédiat, elle porte ses fruits de manière durable à partir de plusieurs mois. Restez motivés, ne vous découragez pas. Les changements se font sentir, corrélativement, sur le moral global, la bonne humeur et la forme physique en général.
Concrètement, la quantité du sommeil lent profond est accrue, le sommeil devient plus réparateur pour l’organisme. L’activité physique joue aussi sur le temps d’endormissement, réduit.
Pas d’activité physique avant d’aller au lit !
Attention toutefois à ne pas pratiquer d’activité physique dans les trois heures qui précèdent le coucher. Ne pratiquez pas après le repas du soir, c’est un moment qui doit être consacré au calme et à l’apaisement physique. L’organisme doit se « désactiver » progressivement.
La température interne moyenne du dormeur est fortement corrélée avec la température moyenne mesurée dans le lit qui dépend elle-même de celle de l’air ambiant. La température centrale baisse au début de la nuit. Les sujets qui abaissent fortement leur température centrale au début de la nuit dorment à une température de lit plus élevée que ceux qui présentent une plus faible diminution de leur température centrale.
Dormir dans des conditions de forte chaleur, entraîne de fortes perturbations du sommeil se traduisant par une réduction du sommeil paradoxal et du sommeil lent profond accompagnée d’une augmentation marquée de la fréquence des mouvements corporels nocturnes.
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Commentaire
Pour moi je vais devoir relire et réfléchir ,la maladie ne me laisse pas de répit je doisl la contree anxiété, angoisse avec des reves le sommeil est un enjeux difficile chez le parkinsonien ?un psychologue peut t il entrer .dans ""le jeu ""merci..
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